Les paysages australiens sont multiples et variés mais certains sont uniques au monde. Il y a des signes qui ne trompent pas comme la couleur rouge du sol, la forme des montagnes, la végétation, …

Pour Koonunga Junction, j’ai utilisé différents sables collectés lors de périples dans la Drôme. Le ballast provient de la gamme GPP (O métrique, gris clair). Les arbres sont réalisés à partir de “Sagebrush” (Cf. Sweetwater Scenery) et de filet floqué. Quant aux palmiers, ils proviennent de la gamme Samtrees. Les arbustes et autres végétaux sont reproduits en utilisant des produits du commerce (Heki par exemple) et des produits naturels comme le lichen, les mousses et le zeeschium. Pour éviter d’avoir une flore trop identique en forme, en couleur et en hauteur, il faut mélanger les différents produits. Le résultat ne sera que meilleur.

On ne peut parler de décor sans parler de fond de décor. L’homogénéité entre ces 2 éléments est indispensable pour une mise en valeur de l’ensemble. Initialement bleu uni, le passage d’un blanc brillant à la bombe et la réalisation de collines ont permis de donner de la profondeur au réseau (n’oublions pas qu’il ne fait que 45 cm de profondeur).

Je tiens à remercier Claude et Jean-Louis pour leurs conseils et Isabelle, ma femme, pour sa participation.

Tous les bâtiments (hormis la petite remise à outils située au milieu des voies) sont des constructions intégrales en bois inspirées par différentes photographies. La remise est une copie conforme de celle construite pour mon précédent diorama. Quant à l’usine de “sherbet”, le fameux bonbon acidulé, elle devra faire l’objet d’un travail complémentaire prochainement. Avec la remise, elle permet de masquer l’accès aux coulisses.

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